Par James Bake
Le championnat haïtien est disparu depuis plus de 3 ans, par manque de structure et d’organisation et qui pis est, la montée en hausse de l’insécurité dans le pays.
Cependant, nous pouvons constater dans divers zones du pays et plus particulièrement dans la capitale, il y a des championnats communément appelé » Chanpyona vakans » qui réunissent un grand nombre de personne. Nous pouvons dire que les fans haïtiens sont des véritables passionnés et amants du football. Une bonne organisation et structuration du championnat national pourrait offrir à nos joueurs le privilège d’aller en Europe ou en amérique du nord, et qui seraient un atout majeur pour nos différentes sélections nationales.
À constater les bras de fer qui existent entre certains clubs dit pro Dadou qui refusent de collaborer avec l’actuel comité de Normalisation. Et une liste d’exigences de la FIFA pour qu’un club soit professionnel et habilité de fonctionner avec une licence de la FIFA. Nous pouvons dire que le retour des championnats haïtiens s’avère être extrêmement difficiles et compliqués en regardant tous ces paramètres.
A qui la faute, et qui sont les véritables perdants de la situation, les jeunes joueurs bourrés de talents qui pourraient trouver un club professionnel en Europe afin de signer un gros contrat comme le cas de Arcus Carlens et Danley Jean Jacques tous deux, anciens pensionnaires du championnat national. Ironie ou chance ? Malgré l’arrêt du championnat national, le Violette Athlétique Club et l’Archaie sont placé parmi les 5 meilleurs Clubs de la Caraïbe.
